source: https://lejournal.cnrs.fr/articles/le-plagiat-a-lere-du-copier-coller |
Le 8/10/2016, jour de célébration des 30 ans de la maison de jeunes Le Clou, Khalil Zeguendi a publié sur son blog Bruxellois sûrement un article où il relate l'histoire du Clou.
Dans le dernier numéro (hiver 2017) du magazine communal trimestriel "1210", un article est consacré à cette maison de jeunes. L'article s'intitule "Dans les clous du Club" (voir plus bas). Quand on lit l'article on remarque qu'il s'agit presque d'un copier-coller de l'article de Khalil Zeguendi. Voyez l'ordre des idées, certaines expressions ont même été reprises telles quelles, seuls quelques mots ont été modifiés et passages zappés. Aucune note en bas de page pour faire référence au blog de l'ancien responsable du service Jeunesse de Saint-Josse qui a, sans aucun doute, inspiré le jeune rédacteur de cet article.
Après avoir piqué les bonnes idées des conseillers communaux d'opposition et celles du collectif 1210SJTN, l'administration communale de Saint-Josse démontre de nouveau qu'elle est dirigée et gérée par une bande d'incultes, uniquement bonne à chiper les bonnes idées de ceux et celles qui sont proches des habitants et qui s'intéressent à l'histoire de la commune et son développement.
Les prochaines élections communales auront lieu en 2018 et vous permettront de donner votre voix à ceux et celles qui méritent de vous représenter.
Copie de l'article de Bruxellois sûrement
samedi 8 octobre 2016
Le Clou...Club de jeunes du quartier Botanique...
...fondé fin 1968 à l'initiative de quelques hommes d'église chrétiens
Envoyé vers le milieu des années 1960
d'Uccle pour prendre en charge la gestion des offices religieux de
l'Eglise Sainte Marie (A cheval entre Schaerbeek et Saint ), le prêtre
Jean Pierre Dupont prend l'option de s'impliquer avec ses amis dans la
vie du quartier Botanique....
Il créera avec les habitants de ce
quartier, un comité ayant pour objectif la défense du quartier nord,
contre les appétits méga urbanistiques du Groupe De Pauw, soutenu par
des politiciens avides de gains comme le défunt PSC Paul Vanden
Boeynants.
Fin 1968, quelques jeunes Grecs et Italiens de ce quartier prennent contact avec Jean Pierre Dupont pour lui demander de les aider à trouver un local susceptible de leur permettre de se réunir et surtout de s'amuser
Le dévolu de Jean Pierre Dupont est jeté sur une maison de la rue de la Poste ( numéro 49 de cette rue) qui abritait jadis un couvent.
Cette maison, voisine des locaux du MRAX (Mouvement contre le racisme l'antisémitisme et la xénophobie, (37 rue de la Poste) et de la permanence de l'ONE (Office de la naissance et de l'enfance), constituera avec le soutien du défunt bourgmestre Guy Cudell, le premier club des jeunes de ce quartier.
Signalons pour la petite histoire, la participation de certaines dames belges, dont Marthe Cudell, à l'aide aux mamans qui fréquentaient la permanence de l'One en leur apprenant comment langer et soigner leurs bébés
Le nom le Clou (planter un clou revient dans les discussions de ceux qui en furent à l'origine), fut adopté par les initiateurs de ce club
Les jeunes Marocains ne sont pas encore présents à cette époque
Ils débarqueront deux ou trois années plus tard.
Les jeunes Turcs eux, ne viendront au Clou que lorsqu'il y a 30 ans, ce club sera pris en main par les autorités communales de Saint Josse.
Comme le rapporte Jean Pierre Dupont dans l'enregistrement ci après, les jeunes fréquentant le Clou à cette époque prendront l'option de lui donner le statut d'association sans but lucratif.
Fin 1968, quelques jeunes Grecs et Italiens de ce quartier prennent contact avec Jean Pierre Dupont pour lui demander de les aider à trouver un local susceptible de leur permettre de se réunir et surtout de s'amuser
Le dévolu de Jean Pierre Dupont est jeté sur une maison de la rue de la Poste ( numéro 49 de cette rue) qui abritait jadis un couvent.
Cette maison, voisine des locaux du MRAX (Mouvement contre le racisme l'antisémitisme et la xénophobie, (37 rue de la Poste) et de la permanence de l'ONE (Office de la naissance et de l'enfance), constituera avec le soutien du défunt bourgmestre Guy Cudell, le premier club des jeunes de ce quartier.
Signalons pour la petite histoire, la participation de certaines dames belges, dont Marthe Cudell, à l'aide aux mamans qui fréquentaient la permanence de l'One en leur apprenant comment langer et soigner leurs bébés
Le nom le Clou (planter un clou revient dans les discussions de ceux qui en furent à l'origine), fut adopté par les initiateurs de ce club
Les jeunes Marocains ne sont pas encore présents à cette époque
Ils débarqueront deux ou trois années plus tard.
Les jeunes Turcs eux, ne viendront au Clou que lorsqu'il y a 30 ans, ce club sera pris en main par les autorités communales de Saint Josse.
Comme le rapporte Jean Pierre Dupont dans l'enregistrement ci après, les jeunes fréquentant le Clou à cette époque prendront l'option de lui donner le statut d'association sans but lucratif.
Photo du milieu:les deux professeurs de musique au Clou, Larbi et
Assaad, arrivés vers 1976 pour enseigner la musique arabe aux jeunes de
ce club (Larbi est décédé depuis plus de 20 ans)
Ils furent aidés pour ce qui concernait les moyens financiers destinés au fonctionnement de ce club par le Rotary Club.
Un animateur fut engagé sur fonds propres, Richard Joie fut cet animateur
Il sera remplacé quelques années plus tard par Sylvain puis par Carlos Da Mata, responsable actuel d'Infor Jeunes Sacherbeek et co fondateur de Radio Panik
Le Clou participera en 1974 au soutien de la grève de la faim des travailleurs sans papiers qui se déroula à l'Eglise Saints Jean et Nicolas de la rue du Brabant
Jean Pierre Dupont fut muté à cette église et c'est lui qui ouvrira la porte aux 9 sans papiers (7 Marocains et deux Tunisiens) qui entamèrent dans la sacristie de cette église leur action au finish (nous y reviendrons dans un futur chapitre)
Plusieurs des jeunes grévistes de la faim, dont Mohammed Merroun et Mohamed Achour, fréquentaient assidûment les activités du Clou à cette époque.
Les années passent et les populations et communautés peuplant le quartier Botanique partent vers des cieux plus cléments et des près plus verdoyants....
Le public du Clou change aussi.....
Plus le temps passe, plus les jeunes fréquentant ce club prennent de l'âge et songent à d'autres projets.
Jusqu'à ce que ce que cette première belle expérience disparaisse, permettant à Guy Cudell de songer à déménager les locaux du Clou vers la rue Goderoid de Bouillon
Les diFficultés de cohabitation entre jeunes Turcs et jeunes marocains s'y feront ressentir...
Ce qui poussera le bourgmestre Guy Cudell à offrir des locaux pour les Jeunes Turcs à la rue Verte, entérinant par cet acte, la séparation entre jeunes Turcs et jeunes Marocains
L'actuel Clou dont on fête aujourd'hui les 30 ans d'existence est une Maison de jeunes Marocains....
Ceux qui gèrent la commune de Saint Josse ne connaissent pas cette belle histoire liée aux origines du Clou
Un animateur fut engagé sur fonds propres, Richard Joie fut cet animateur
Il sera remplacé quelques années plus tard par Sylvain puis par Carlos Da Mata, responsable actuel d'Infor Jeunes Sacherbeek et co fondateur de Radio Panik
Le Clou participera en 1974 au soutien de la grève de la faim des travailleurs sans papiers qui se déroula à l'Eglise Saints Jean et Nicolas de la rue du Brabant
Jean Pierre Dupont fut muté à cette église et c'est lui qui ouvrira la porte aux 9 sans papiers (7 Marocains et deux Tunisiens) qui entamèrent dans la sacristie de cette église leur action au finish (nous y reviendrons dans un futur chapitre)
Plusieurs des jeunes grévistes de la faim, dont Mohammed Merroun et Mohamed Achour, fréquentaient assidûment les activités du Clou à cette époque.
Les années passent et les populations et communautés peuplant le quartier Botanique partent vers des cieux plus cléments et des près plus verdoyants....
Le public du Clou change aussi.....
Plus le temps passe, plus les jeunes fréquentant ce club prennent de l'âge et songent à d'autres projets.
Jusqu'à ce que ce que cette première belle expérience disparaisse, permettant à Guy Cudell de songer à déménager les locaux du Clou vers la rue Goderoid de Bouillon
Les diFficultés de cohabitation entre jeunes Turcs et jeunes marocains s'y feront ressentir...
Ce qui poussera le bourgmestre Guy Cudell à offrir des locaux pour les Jeunes Turcs à la rue Verte, entérinant par cet acte, la séparation entre jeunes Turcs et jeunes Marocains
L'actuel Clou dont on fête aujourd'hui les 30 ans d'existence est une Maison de jeunes Marocains....
Ceux qui gèrent la commune de Saint Josse ne connaissent pas cette belle histoire liée aux origines du Clou
Copie de l'article dans le "1210"
C'est à l'initiative d'hommes d'église que revient l'ouverture d'un lieu dédié à la jeunesse du quartier Nord et plus précisément, dans les alentours du Botanique. Un comité d'habitants vit le jour, en
1968, pour défendre le quartier contre sa forte urbanisation (projets immobiliers et de mobilité). A cette époque, quelques jeunes habitants d'origine grecque et italienne prennent contact avec le prêtre
Jean-Pierre Dupont, en charge la gestion des offices religieux de l'Église Sainte Marie (à cheval entre Schaerbeek et Saint-Josse) et investi dans le comité, pour lui demander de les aider à trouver un
local susceptible de leur permettre de se réunir. Il pensa à la maison (propriété communale) qui abritait jadis un couvent, rue de la Poste 49, voisine des locaux du MRAX (Mouvement contre le racisme l'antisémitisme et la xénophobie) et de la permanence de l'ONE (Office de la naissance et de l'enfance), constitua avec le soutien du défunt Bourgmestre Guy Cudell, le premier club
des jeunes de ce quartier.
Appelé à l'origine « Le Couvent » à cause de l'histoire du lieu, le club sera rapidement rebaptisé par les adolescents « Le Clou » (« planter un clou » revenant régulièrement dans les discussions de ceuxci). Constituée en association, celle-ci est financée les premières années sur fonds propres grâce aux dons du Rotary club. En soutien des bénévoles Albert Wathier, Adelin van Parijs et Jean Pierre Dupont, qui s'y relayaient régulièrement, un animateur est engagé sur fonds propres, il s'agit de frère Richard Joie. Il sera remplacé quelques années plus tard par Sylvain puis par Carlos Da Mata, responsable actuel d'Infor Jeunes Schaerbeek et co-fondateur de Radio Panik.
«Très fréquentée par les garçons et les filles du quartier en soirée et le week-end», nous raconte Irma Bozzo, membre de la première heure, on s'investissait énormément dans la co-gestion de l'association. Le désir de liberté nous poussait à monter des pièces de théâtre, au ton politique engagé pour nous exprimer. Nous nous épanouissions réellement dans ce lieu ouvert, empreint de fraternité
et de solidarité. Ce fut une école de vie où nous apprenions a prendre des responsabilités et où l'on pouvait s'émanciper». Le lieu, oeuvrant au développement de la jeunesse par le biais d’activités très diversifiées : récréatives, sportives, culturelles et artistiques (ciné-clubs, ateliers photo, théâtre,...), sera un moment reconnu et subsidié par l'Agglomération Bruxelloise (anciennement FWB). Des professeurs de musique, comme Larbi et Assaad, y enseignent également la musique arabe.
Les années passent et les populations peuplant le quartier Botanique changent. Les jeunes fréquentant ce club prennent de l'âge et songent à d'autres projets. Le Bourgmestre, Guy Cudell, ayant souhaité le maintien du club de jeunes, accorda la reprise de la gestion du club par les services communaux en 1986. La Régionalisation de Bruxelles, en 1989, offre l'opportunité à la commune de
récupérer une série conséquente de locaux et logements dans le quartier Nord. Les autorités communales songent alors à déménager les locaux du Clou vers la rue Godefroid de Bouillon.
Une nouvelle donne entre en ligne de compte : l’animation des loisirs s’accompagnera d’un important volet social. Il s’agit d’oeuvrer à l’intégration sociale et de proposer de l'aide pour remédier aux
problèmes rencontrés par les jeunes. Le club de jeunes joue un rôle plus préventif, puisqu’il veille à éviter la délinquance et à détourner les jeunes de la rue, des cafés et de la drogue.
Le contexte social des années 90's est plus rude. Les jeunes font face à des difficultés plus grandes. La cohabitation entre jeunes de communautés différentes n'est pas toujours évidente, le travail
d'accompagnement des animateurs est nécessaire pour rappeler les valeurs de tolérance, d’ouverture à tous qui a présidé à la création de cet espace.
Aujourd'hui Jamal, Mustafa, Sarah, Rafik & Mounir encadrent quotidiennement une quarantaine de jeunes, tant filles que garçons, âgés pour la plupart de 7 à 23 ans. Après l'école, ils viennent s'y
détendre : ping-pong, babyfoot, ordinateurs, jeux de société, y faire du sport ; du mini-foot ou de la danse (salle Mandela), y faire leurs devoirs et profiter du soutien scolaire, s'initier au théâtre ou tout
simplement apprendre à réparer son vélo.
Durant les congés scolaires, ils sont nombreux à profiter des ateliers créatifs et des sorties culturelles proposées ; fabrication de sculptures en papier mâché ou création de costumes, visite du musée des sciences naturelles, de Pairi Daiza, promenades à vélo, cinéma, baignades....
Définition de "plagiat"
http://plagiat.ec-lille.fr/FAQ_Plagiat.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/Plagiat
https://www.unamur.be/plagiat/definition
1968, pour défendre le quartier contre sa forte urbanisation (projets immobiliers et de mobilité). A cette époque, quelques jeunes habitants d'origine grecque et italienne prennent contact avec le prêtre
Jean-Pierre Dupont, en charge la gestion des offices religieux de l'Église Sainte Marie (à cheval entre Schaerbeek et Saint-Josse) et investi dans le comité, pour lui demander de les aider à trouver un
local susceptible de leur permettre de se réunir. Il pensa à la maison (propriété communale) qui abritait jadis un couvent, rue de la Poste 49, voisine des locaux du MRAX (Mouvement contre le racisme l'antisémitisme et la xénophobie) et de la permanence de l'ONE (Office de la naissance et de l'enfance), constitua avec le soutien du défunt Bourgmestre Guy Cudell, le premier club
des jeunes de ce quartier.
Appelé à l'origine « Le Couvent » à cause de l'histoire du lieu, le club sera rapidement rebaptisé par les adolescents « Le Clou » (« planter un clou » revenant régulièrement dans les discussions de ceuxci). Constituée en association, celle-ci est financée les premières années sur fonds propres grâce aux dons du Rotary club. En soutien des bénévoles Albert Wathier, Adelin van Parijs et Jean Pierre Dupont, qui s'y relayaient régulièrement, un animateur est engagé sur fonds propres, il s'agit de frère Richard Joie. Il sera remplacé quelques années plus tard par Sylvain puis par Carlos Da Mata, responsable actuel d'Infor Jeunes Schaerbeek et co-fondateur de Radio Panik.
«Très fréquentée par les garçons et les filles du quartier en soirée et le week-end», nous raconte Irma Bozzo, membre de la première heure, on s'investissait énormément dans la co-gestion de l'association. Le désir de liberté nous poussait à monter des pièces de théâtre, au ton politique engagé pour nous exprimer. Nous nous épanouissions réellement dans ce lieu ouvert, empreint de fraternité
et de solidarité. Ce fut une école de vie où nous apprenions a prendre des responsabilités et où l'on pouvait s'émanciper». Le lieu, oeuvrant au développement de la jeunesse par le biais d’activités très diversifiées : récréatives, sportives, culturelles et artistiques (ciné-clubs, ateliers photo, théâtre,...), sera un moment reconnu et subsidié par l'Agglomération Bruxelloise (anciennement FWB). Des professeurs de musique, comme Larbi et Assaad, y enseignent également la musique arabe.
Les années passent et les populations peuplant le quartier Botanique changent. Les jeunes fréquentant ce club prennent de l'âge et songent à d'autres projets. Le Bourgmestre, Guy Cudell, ayant souhaité le maintien du club de jeunes, accorda la reprise de la gestion du club par les services communaux en 1986. La Régionalisation de Bruxelles, en 1989, offre l'opportunité à la commune de
récupérer une série conséquente de locaux et logements dans le quartier Nord. Les autorités communales songent alors à déménager les locaux du Clou vers la rue Godefroid de Bouillon.
Une nouvelle donne entre en ligne de compte : l’animation des loisirs s’accompagnera d’un important volet social. Il s’agit d’oeuvrer à l’intégration sociale et de proposer de l'aide pour remédier aux
problèmes rencontrés par les jeunes. Le club de jeunes joue un rôle plus préventif, puisqu’il veille à éviter la délinquance et à détourner les jeunes de la rue, des cafés et de la drogue.
Le contexte social des années 90's est plus rude. Les jeunes font face à des difficultés plus grandes. La cohabitation entre jeunes de communautés différentes n'est pas toujours évidente, le travail
d'accompagnement des animateurs est nécessaire pour rappeler les valeurs de tolérance, d’ouverture à tous qui a présidé à la création de cet espace.
Aujourd'hui Jamal, Mustafa, Sarah, Rafik & Mounir encadrent quotidiennement une quarantaine de jeunes, tant filles que garçons, âgés pour la plupart de 7 à 23 ans. Après l'école, ils viennent s'y
détendre : ping-pong, babyfoot, ordinateurs, jeux de société, y faire du sport ; du mini-foot ou de la danse (salle Mandela), y faire leurs devoirs et profiter du soutien scolaire, s'initier au théâtre ou tout
simplement apprendre à réparer son vélo.
Durant les congés scolaires, ils sont nombreux à profiter des ateliers créatifs et des sorties culturelles proposées ; fabrication de sculptures en papier mâché ou création de costumes, visite du musée des sciences naturelles, de Pairi Daiza, promenades à vélo, cinéma, baignades....
Définition de "plagiat"
http://plagiat.ec-lille.fr/FAQ_Plagiat.htm
https://fr.wikipedia.org/wiki/Plagiat
https://www.unamur.be/plagiat/definition
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